"Encore une "gravel" ?" Mon compagnon de route, Ugo, prend une bouffée d'air avant d'attaquer la dernière partie de chemin de terre de l'Authentic 1868. Avec son père, l'ex-coureur pro Pierre Tosi, nous venons à bout de cette nouvelle randonnée de l'Anjou Vélo Vintage.
L'itinéraire est conçu comme un saucisson : des parties de chaussée pour la viande, des parties de "gravel" (20 % du parcours) pour le gras. En fait de gravier, nous bouffons plutôt de la terre, du sable et des pierres, avec des bosses, dans les vignes, dans les bois. Quelques trous d'eau dus aux orages de la veille nous piègent parfois.
Les organisateurs, pour cette édition 2016, collent à cette pratique venue d'Amérique du Nord, encore confidentielle en France : le "gravel", vélo hybride entre le cyclo-cross et le vélo de course, pouvant passer de la route aux sentiers. Nos vélos sont équipés de boyaux spéciaux et de pneus à large section (28 mm), avec renfort anticrevaison. Sur mon Jean-Claude Blocher, j'ai monté des Deli Tire, fournis par les Cycles Tosi. Bonne tenue de route ; parfaits sur les chemins ; aucune crevaison !
Les points positifs de l'Authentic 1868 :
- la longueur du parcours, suffisamment longue ;
- la variété des paysages (bords de Loire, vallons, bosses, villages...) ;
- l'accueil des villageois et les dégustations de fouées (petits pains locaux cuits au feu de bois) et de jus de raisin ;
- les parties "tout-terrain", parfois assez difficiles, qui pimentent la sortie.
Comme Ugo, je suis soulagé d'arriver et de passer sous la bannière, pour la photo souvenir et la bouteille de vin offertes. Une petite réserve : le repas est un peu gras (cochon de lait, haricots...). Autour d'un verre de vin, je retrouve Ronan, un fan du film Le Vélo de Ghislain Lambert, rencontré ici trois ans auparavant.
A Saumur, on a mal aux jambes, mais on se fait des potes.
L'itinéraire est conçu comme un saucisson : des parties de chaussée pour la viande, des parties de "gravel" (20 % du parcours) pour le gras. En fait de gravier, nous bouffons plutôt de la terre, du sable et des pierres, avec des bosses, dans les vignes, dans les bois. Quelques trous d'eau dus aux orages de la veille nous piègent parfois.
Les organisateurs, pour cette édition 2016, collent à cette pratique venue d'Amérique du Nord, encore confidentielle en France : le "gravel", vélo hybride entre le cyclo-cross et le vélo de course, pouvant passer de la route aux sentiers. Nos vélos sont équipés de boyaux spéciaux et de pneus à large section (28 mm), avec renfort anticrevaison. Sur mon Jean-Claude Blocher, j'ai monté des Deli Tire, fournis par les Cycles Tosi. Bonne tenue de route ; parfaits sur les chemins ; aucune crevaison !
Les points positifs de l'Authentic 1868 :
- la longueur du parcours, suffisamment longue ;
- la variété des paysages (bords de Loire, vallons, bosses, villages...) ;
- l'accueil des villageois et les dégustations de fouées (petits pains locaux cuits au feu de bois) et de jus de raisin ;
- les parties "tout-terrain", parfois assez difficiles, qui pimentent la sortie.
Comme Ugo, je suis soulagé d'arriver et de passer sous la bannière, pour la photo souvenir et la bouteille de vin offertes. Une petite réserve : le repas est un peu gras (cochon de lait, haricots...). Autour d'un verre de vin, je retrouve Ronan, un fan du film Le Vélo de Ghislain Lambert, rencontré ici trois ans auparavant.
A Saumur, on a mal aux jambes, mais on se fait des potes.
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| Arrivée après l'Authentic 1868 (Anjou Vélo Vintage 2016) |
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| Dégustation de jus de raisin pour les cyclistes. Restent 40 km à parcourir (Anjou Vélo Vintage 2016). |
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| Ravitaillement avec des fouées ou fouaces angevines (Anjou Vélo Vintage 2016). |
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| Ultime préparation pour se présenter au départ 12 minutes en retard ! (Anjou Vélo Vintage 2016) |
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| Repas de veille de course : une délicieuse entrecôte chez Mona Pizza, à Saumur. |
