J'ai cinquante-trois ans depuis trois mois. Bon sang, je "pédale carré". Les cent kilomètres me font mal. J'ai le souffle court, les copains me "déposent". A quoi bon m'accrocher, le dimanche matin ? Je préfère me promener.
Sur mon VTT à gros pneus, je "roule sur la jante"à 22 km/h. Une sortie de quarante bornes me satisfait. En vieillissant, je savoure les moments simples sans "se tirer la bourre".
C'est certain : j'ai dépassé le stade d'invigoration, que Le Grand Robert de la langue française définit comme la "période durant laquelle le corps et les facultés de l'homme acquièrent leur plein développement, parviennent au plein de leur force, de leur vigueur".
Sur mon VTT à gros pneus, je "roule sur la jante"à 22 km/h. Une sortie de quarante bornes me satisfait. En vieillissant, je savoure les moments simples sans "se tirer la bourre".
C'est certain : j'ai dépassé le stade d'invigoration, que Le Grand Robert de la langue française définit comme la "période durant laquelle le corps et les facultés de l'homme acquièrent leur plein développement, parviennent au plein de leur force, de leur vigueur".