Je ressens, la veille d'une sortie à bicyclette, de la joie. Une sorte d'euphorie, sentiment de bien être, d'épanouissement spirituel. J'imagine mon itinéraire : quelle chemin, quelle route vais-je suivre ? Un tel, le samedi matin, verra trop de voitures ; un autre sera moins fréquenté... ou bien, j'irai dans les bois, à VTT. Je choisis ma tenue, des chaussettes à la casquette (assortie au maillot ou à la veste), tout est près le soir, plié près de la salle de bain.
Le vélo – j'en ai plusieurs –, je n'aurai qu'à le choisir le lendemain matin. De toute façon, il sera prêt car je nettoie et entretiens mes vélos après chaque sortie.
Cette joie intérieure, c'est un peu l'apéritif de la sortie. Elle donne déjà envie de pédaler, elle fait partie de l'acte cycliste, tout comme la douche et la sieste qui en sont le dessert.
Le vélo – j'en ai plusieurs –, je n'aurai qu'à le choisir le lendemain matin. De toute façon, il sera prêt car je nettoie et entretiens mes vélos après chaque sortie.
Cette joie intérieure, c'est un peu l'apéritif de la sortie. Elle donne déjà envie de pédaler, elle fait partie de l'acte cycliste, tout comme la douche et la sieste qui en sont le dessert.